Naissance de Camille Laurin
« Dans une société normale, elle se parle toute seule, la langue… »¹ On ne dira jamais assez à quel point Camille Laurin fut un géant, un immense bâtisseur du Québec. Sa droiture, son courage, sa vision, son sens de la grandeur firent de lui un véritable père de la nation. Avec son fameux projet […]
Les épouvantails du QCGN et de la Fédération des cégeps : Une désinformation qui nuit au débat
Il y a quelques jours, la présidente du Quebec Community Groups Network (QCGN), Marlene Jennings a déclaré que la (timide) réforme caquiste de la loi 101 était rien de moins que la « formule parfaite » pour « éradiquer », dit-elle, la communauté anglaise au Québec. Dans une autre publication datant de février, mais supprimée depuis, l’ancienne députée libérale allait jusqu’à […]
L’échec de Simon Jolin-Barrette
Je me souviendrai de cette date. Hier, 23 février 2022, le ministre parrain du projet de loi 96, M. Simon Jolin-Barrette, s’est tristement opposé à une proposition d’amendement du PQ, qui eût enfin assujetti les cégeps aux dispositions de la Charte de la langue française en matière d’éducation. C’est un secret de polichinelle. Tout le […]
Jugement Immer: une (autre) injustice envers le français
L’adoption de la Charte de la langue française en 1977 est un acte fondateur pour la nation québécoise. Il serait pertinent, comme l’exprime à juste titre Guy Rocher, d’y voir une «loi de la dignité québécoise». Il y a maintenant 45 ans, par l’entremise de leur Assemblée nationale, les Québécoises et les Québécois ont exprimé […]
Sans la loi 101 au cégep, Montréal continuera de s’angliciser
Monsieur le Premier ministre, Le MQF, que j’ai l’honneur de présider, aura bientôt 50 ans. À sa fondation, je venais à peine de célébrer mes… moins 16 ans. J’en ai aujourd’hui +34. Cela fait environ une décennie et demie que je consacre ma jeunesse à l’avancement de notre langue nationale. Comme tous les acteurs sérieux […]
LETTRE AU PREMIER MINISTRE, FRANÇOIS LEGAULT – Loi 101 au cégep : le fruit est mûr
Lire la version courte destinée aux médias « Cueillez-le, M. Legault ! Sans quoi Montréal continuera de s’angliciser et ce, malgré le PL 96. » Monsieur le premier ministre, Le Mouvement Québec français (MQF), que j’ai l’honneur de présider, aura bientôt 50 ans. À sa fondation, je venais à peine de célébrer mes… moins 16 ans. J’en ai […]
Mémoire du regroupement Pour le cégep français
Lors des consultations publiques sur le projet de loi 96, le regroupement Pour le cégep français a déposé un mémoire à la Commission de la culture et de l’éducation. Nous vous invitons chaleureusement à lire et à signer le mémoire. Auteurs du mémoire : Georges-Rémy Fortin, Yannick Lacroix, Nicolas Bourdon, Mathieu Bélisle, Caroline Hébert, Jean-François Vallée, Richard Vaillancourt, […]
Québec a sa part de responsabilité dans le recul du français
Lettre ouverte de Frédéric Lacroix, Le Devoir, 17 décembre 2020 Le premier ministre du Québec, M. François Legault, était invité à la dernière émission des Francs-tireurs la semaine passée. Durant l’entrevue, menée par Benoit Dutrizac, la question linguistique fut abordée brièvement. Ce n’était pas une entrevue de fond sur la question, le segment sur la langue ne dure […]
Cégep anglais : Le modèle de prévisions de l’effectif du Ministère nous induit en erreur
Cégep anglais : Le modèle de prévisions de l’effectif du Ministère nous induit en erreur Une hausse de fréquentation plutôt qu’une baisse Frédéric Lacroix, chercheur indépendant, texte publié dans L’aut’journal, 29 août 2020. Le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES) utilise un modèle de prévision de l’effectif au collégial pour guider le développement […]
La non-application de la loi 101 au cégep est la plus grande porte ouverte à l’anglicisation du Québec
Texte du MQF Il faut impérativement colmater la brèche Les inscriptions dans les programmes préuniversitaires anglophones, à Montréal, sont en voie de surpasser celles des cégeps français. Selon le chercheur indépendant Frédéric Lacroix, ce phénomène pourrait se produire d’ici trois à cinq ans. Cela implique que les jeunes diplômés des cégeps anglophones fréquenteront ensuite, en […]