Que la partie visible de l’iceberg!
Texte de Mario Beaulieu paru dans Le Devoir, 18 novembre 2011
La Caisse de dépôt et placement du Québec choisissait récemment deux unilingues anglophones pour occuper de hautes fonctions au sein de l’organisme, contrairement à ce qu’exige la Charte de la langue française. Le premier vice-président de la Caisse a bien sûr prétendu que ce n’était là qu’une «situation d’exception», mais de tels agissements sont devenus monnaie courante dans l’administration publique québécoise. Rien d’étonnant quand on constate qu’une récente étude de l’Institut de recherche en économie démontre qu’il y a 13,9 % des emplois publics au Québec dont la langue de travail est principalement l’anglais (sans compter les emplois bilingues où l’anglais est régulièrement utilisé), alors que les Anglo-Québécois comptent pour 8,7 % de la population en âge de travailler. Cette situation qui prévaut à la Caisse de dépôt n’est en fait que la partie visible de l’iceberg et nullement une exception comme certains seraient tentés de faire croire.
Patrons unilingues anglais à la Caisse de dépôt et placement du Québec: ce n’est que la partie visible de l’iceberg!
Texte de Mario Beaulieu, président du Mouvement Québec français, 17 novembre 2011
Anglicisation: le mythe québécois – Réponse du journal l’Action.com au président du Mouv. Lanaudière français
Article de Robert Melançon paru dans L'Action.com du 29 mars 2011.
La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal annonce un printemps québécois

Projet de loi 103 – La loi 101, notre seule voix
Coalition contre la loi 103, Le Devoir, 18 septembre 2010. Nous publions la déclaration commune qui sera lue ce soir, à 19h30, à Montréal, au Centre Pierre-Charbonneau, à l'occasion du Rassemblement Notre langue n'a pas de prix – La loi 101 n'est pas à vendre!
Et si 2 millions de Québécois larguaient « The Montreal Canadians »? Et si durant les Fêtes 2 millions de Québécois ne buvaient pas la bière Molson!
Voici ce qu’écrivait M. Georges Le Gal dans l’édition du 19 août 2010 du bulletin bimensuel du Mouvement Montréal français : « Travailler en français, c’est se faire respecter! »
Exiger que notre sport national soit en français, c’est aussi se faire respecter!
Tout observateur averti, partisan ou non de « The Montreal Canadians », constate que Le Canadien de Montréal n’existe plus. Lentement, mais sûrement, tout en augmentant le nombre de partisans et le nombre de millions en profit dans ses coffres, il a abandonné le Québec francophone sur lequel reposent ses assises.
La Presse joue à l’autruche avec la langue
LUC THÉRIAULT et MARIO BEAULIEU | MOUVEMENT MONTRÉAL FRANÇAIS | 12/05/2009
ARCHIVES MQF ─ Depuis plusieurs années, les éditorialistes de La Presse n’ont de cesse de dénigrer sans ménagement toute personne qui veut alerter l’opinion publique sur la situation du français. Dimanche dernier, André Pratte s’en est pris à Luc Plamondon, simplement parce qu’il a émis l’opinion que l'avenir de la langue française est menacé, et particulièrement à Montréal. En taxant ce constat d’«étonnant» et de «caricatural», M. Pratte a présenté des chiffres soigneusement sélectionnés pour donner un portrait d’un optimisme débridé. Cet optimisme nous paraît tout aussi « caricatural » que sa critique de l’usage d’anglicismes dans certaines oeuvres triées parmi les centaines de chansons que Luc Plamondon a écrites pendant quatre décennies et pour lesquelles l’Assemblée nationale l’a honoré.
Les partis en élection doivent s’engager à prendre des mesures sérieuses pour le français
Texte paru dans Le Devoir, le 1er décembre 2008
Par Mario Beaulieu, porte-parole du Mouvement Montréal français
et président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal
La situation du français à Montréal exige que le gouvernement du Québec agisse rapidement afin de contrer l’anglicisation des institutions publiques et de faire respecter le droit de travailler en français. Les partis politiques doivent prendre des engagements clairs à cet égard dans le cadre de la présente élection.
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